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One PieceFORUM ONE PIECE · AVATARS MANGA · 200*400

New World

Bienvenue sur One Piece New World, forum à l'ambiance unique où les joueurs sont les acteurs principaux de l'univers du forum. Devenez un pilier du forum en étant empereur, amiral de la marine, chef révolutionnaire, et instaurez votre propre règne. Faîtes des alliances, déclarez des guerres, vos choix influeront directement sur le contexte du forum et vos propres destinées. Rejoignez-nous !
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14.11.21Création du forum, puis ouverture de la phase bêta en Décembre.
01.02.22Ouverture officielle du forum.
01.12.22Le forum souffle sa première bougie !
14.02.24L'évent qui va changer le monde commence !
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Cesare A. Claudius
Sam 8 Avr - 14:30
Cesare A. Claudius
Cesare A. Claudius
Cesare A. Claudius
Cesare A. Claudius
ÉCRIRE UNE PETITE CITATION ICI
PRÉNOM NOM
  • Surnom :

    Le Tyran Balafré

  • Race :

    Humain

  • Âge :

    27

  • Faction :

    Chasseur de primes

  • Métier :

    Chasseur de primes

  • Équipage :

    Black Air Force

  • Hakis :

    Armement interne, Observation Intuition, Haki des Rois

  • FDD/Armes :

    Ryu-Ryu no Mi : Modèle Tyrannosaurus Rex

  • Style de combat :

    Fruit du démon et force brute

◄ Taille : 2m15
◄ Poids : 99 Kg
◄ Cheveux : Blonds cendrés
◄ Yeux : Bleus
◄ Carnation : Blanche.

◄ Voix : Forte, bourrue et autoritaire
◄ Démarche : Masculine et assurée
◄ Parfum: Boisé
◄ Groupe sanguin : B+
◄ Signes distinctifs : Cicatrice sur la lèvre qui remonte jusqu’à la joue;  ses cheveux sont toujours plaqués en arrière avec une tonne de Gomina; des rouflaquettes saillantes et trébuchantes comme jamais ornent chaque côté de son visage. Fortement musclé, il s’adonne à un entraînement régulier afin de rester en forme. Très fier de son abdomen et de ses muscles pectoraux.

◄ Style :  Cesare, de par son origine sociale, a un faible pour les costumes inutilement chers et les beaux vêtements. Ainsi, chacun de ses habits est désigné sur mesure par un tailleur en qui il a une totale confiance. De plus, il peut être souvent vu en train de fumer des cigares ou de boire un verre d’alcool : nette préférence pour le rhum ambré et le whisky.

◄ Tics et manies : Finit ses phrases par “Pas vrai ?” lorsqu’il est sous le coup d’une forte émotion ou sous l’ivresse du combat. - Pleure en silence quand il regarde Ashura augmenter leurs frais de dommages collatéraux — Rigole en “Vahahahahaha” — Grossier à un point où les gens veulent constamment lui caler un bloc de savon dans la bouche
Physique
Arrogant : Depuis aussi longtemps qu’il s’en souvient, il a toujours pris les gens de haut. Non pas à cause de son sang bleu, mais de son entière confiance en ses capacités. Il sait ce qu’il vaut. Il connaît l’impact qu’il a sur le monde. Il sait que les primés en tout genre redoute son nom et celui de sa guilde, et il ne voudrait pas qu’il en soit autrement !

Cupide : “Pourquoi suis-je devenu un chasseur de tête ? BAH POUR L’ARGENT BIEN SUR ! Attends mec : un gars ultra-balaise comme moi qu’on engage pour péter les crânes des plus gros connards qui gangrènent les océans en l’échange d’une juteuse rémunération ? Qui est en plus exonérée de tout impôt ? MAIS C’EST LE MÉTIER RÊVE POUR MOI CA ! PAS VRAI ?”

Insolent : La notion de respect chez Cesare est très relative. Ou plutôt, il compte sur les doigts d’une main les choses qu’il a envie de respecter, car en général, il ne respecte rien et personne. Son insolence n’a d’égal que son arrogance : il s’en fiche de savoir que vous êtes un haut gradé de la marine ou un noble : vous êtes un client qui a besoin de ses services et il compte bien en profiter. Votre histoire est triste et tragique et c’est à cause de ce monde injuste que vous avez brandi le pavillon noir et que vous commetiez des atrocités en mer ? Dommage pour vous, car vos états d'âmes ne sont absolument pas le souci de Cesare. En un mot comme en 100 : Cesare en a rien à foutre de vous et vous traitera comme bon lui semblera.

Loyal : “Tu vois gros, la famille de sang c’est de la merde. Tu ne la choisis pas. Parfois, tu peux avoir de la chance et tomber sur de bons lascars comme par exemple un bon frère, une bonne mère, un père qui te protège. Mais parfois, tu peux tomber sur les pires chiens de la casse possible, et être dégouté d’avoir ce lien en commun avec eux. C’est pourquoi je chéris plus que tout la famille que je me suis faite sur la mer : mon frère Beyond. Mes casses-couilles d’associés que sont Ted, Jack et Ashura. Et chacun des putains de membres de la Black Air Force, du chasseur de prime vétéran au stagiaire qu’on vient de recruter il y a deux jours. Ces gens là, sont ma famille. Et gare au bâtard qui viendra toucher un membre de ma famille, car le Buster Call sera d’la pisse de chat à côté de ce que je vais faire !”

Juste: Enfant déjà, le traitement que les autres dragons célestes réservaient aux autres êtres humains le dégoutait profondément. Ce qu’il a vu dans cette Terre Sainte le marqua tellement que plus tard, il fit le serment solennel de ne jamais acheter d’esclaves. Par ailleurs, ses multiples voyages aux quatre coin du monde dans l’exercice de son métier l’ont rendu compte que les châtiments disproportionnés et les traitements abusifs sur les faibles n’étaient pas limités à Marie-Joise : c’est pourquoi il met un point d’honneur à refaire le portrait de ces sous-êtres à chaque fois qu’il en croisait un. Et ce, gratuitement !

Professionnel: “Règle numéro 1 de la Black Air Force ! Le chasseur de prime doit remplir son contrat sous n’importe quelle condition ! Règle numéro 2 ! Le client paie uniquement quand il constate que le travail a été effectué ! Règle numéro 3 ! Interdiction formelle d’impliquer des innocents dans nos contrats et théâtres d’opérations, sous peine de licenciement ! C’EST NOS TROIS REGLES D’OR QU’ON RESPECTERA JUSQU’A DANS LA TOMBE PARCE QU’ON SAIT FAIRE NOTRE BOULOT NOUS ! PAS VRAI ?


Rancunier : “Règle secrète de la Black Air Force : Tous ceux qui violentent un de nos membres, tente de nous arnaquer ou veulent nuire de façon explicite à l’indépendance de notre guilde peut et va subir une descente punitive. Parce que ‘faut pas déconner non plus hein les gars ?


Bon vivant : Cesare gagne bien sa vie en faisant ce boulot. Il peut se permettre de s’acheter un luxe presque équivalent à ce qu’il avait à Marie-Joise : les mets les plus succulents, la boisson la plus raffinée, les habits les plus soyeux et les dames les plus belles de ce monde pour l’accompagner. Hédoniste convaincu, il est certain qu’il n’existe pas plus grand plaisir dans la vie que… se faire plaisir.

Aime : L’argent, la bonne nourriture, l’alcool, les femmes et les beaux vêtements. Son frère Beyond et ses frères d’armes. L’équité et les traitements justes et proportionnés. Le professionnalisme.

N’aime pas : Les dragons célestes, Marie-Joise et son ancienne famille. L’esclavage et les esclavagistes. L’injustice et la cruauté gratuite. L’implication d’innocents dans les conflits. Toute forme de taxe et de dédommagement financier à ses frais.

Son rêve : “Péter la gueule de tous les connards qui pensent pouvoir asservir les autres en toute impunité !”

 
Caractère

Prologue
Marie-Joise. La Terre Sainte des Dragons Célestes, nobles privilégiés dont les familles descendent des fondateurs du Gouvernement Mondial, était un paradis terrestre pour les élus vivant en son sein et les rares chanceux ayant l’opportunité de la visiter. Le sol bougeait tout seul, à la convenance des propriétaires des lieux. L’eau coulait en abondance, et la nourriture la plus exquise du monde était présente en quantité extravagante. Partout où vous alliez, il y avait des esclaves à votre disposition, prêts à satisfaire le moindre de vos désirs.

Vraiment, un paradis sur terre.

Et pourtant, il n’existe aucun lieu en ce monde que Cesare déteste plus que cette terre qui l’a vu naître.
Et pour cause : les résidents de la Terre Sainte étaient des “dragons célestes” que de noms. Car leurs comportement se rapprochaient surtout de la vermine la plus abjecte qu’il lui a été donné de voir.

Petit déjà, il s’était toujours senti différent de ces gens qui n’avaient aucun respect pour la vie humaine, la dignité d’autrui.
Les excès de cruauté sur les esclaves que ces guivres chtoniennes faisaient pour faire étalage de leur pouvoir sur les autres le dégoûtait. Et ce même dégoût lui valu d’être mis à l’écart de sa propre famille, qui ne comprenait comment on pouvait éprouver un tel sentiment envers un esclave.

Tant mieux. Il les détestait.

Dans cette cage dorée, il ne passait pas un seul instant sans éprouver un profond mépris pour tout ce qu’il l’entourait.

Les nobles. La ville.Leurs mentalités.

Cependant, il existait un rayon d’espoir dans ce paradis lugubre.

Beyond.

Leurs familles étant amies, ils se connaissaient depuis le berceau. En fait, Beyond était né juste un an après Cesare et ils devinrent rapidement inséparables. Ils étaient des esprits liés : ils partageaient ensemble une aversion pour leurs semblables, mais ils étaient aussi animé par un profond désir d’aventure et de liberté.

C’est à ce serment de liberté qu’ils ont décidé de se partager la coupe de la fraternité : si leurs propres familles les dégoûtait, au moins ils pourraient trouver du confort et de l’humanité chez l’autre.

Mais surtout, la promesse d’aller explorer un jour le vaste monde tout les deux leur donnait la force de supporter mutuellement les exactions des monstres qui se vantaient d’être nobles.

Jusqu’à ce jour d’été de 1536.

Ce jour marqua un tournant dans la vie des deux frères. Beyond, toujours aussi téméraire, décida de son propre chef de délivrer une fournée d'esclaves que sa famille venait d’acheter. Aidé par son frère, ils étaient sur le point de quitter le majestueux manoir des Pluto quand un serviteur, de mèche avec ses maîtres, dénonça la tentative.

La réponse fut sans appel.

Chaque esclave fugitif fut exécuté sous leurs yeux, preuve du manque de considération que ces monstres cupides avaient pour la vie. Les frères en avaient assez. Ils ne pouvaient plus vivre ici, dans une terre ou des êtres abjects pouvaient décider de la vie ou de la mort d’un homme par pur caprice.

“Beyond.”

“Cesare.”

“Tirons nous d’ici”


Chapitre 1
Nous sommes maintenant en 1537, un an après son évasion de Marie-Joise. N’étant plus considéré comme un noble mondial, Cesare était libre de faire ce qu’il voulait. Accompagnés de son frère Beyond,, ils décidèrent d’allier l’utile à l’agréable en associant leur soif de découverte du monde à leur envie de justice en rejoignant la Marine. La-bas, le jeune Cesare se lie d’amitié avec des personnages haut en couleurs…

“PUTAIN KAGURA ! TU POURRAIS APPRENDRE A METTRE UN PANSEMENT NAN ?!”

“J’aurais moins de difficulté à te soigner si tu n’arrêtais pas de gesticuler de la sorte ! Alors arrête de bouger, espèce de bouffon ! “

Le rire de son frère s’ajouta à la cacophonie ambiante.

“Putain t’as vu comment Maniel ne t’as pas loupé ? Tu l’as défié et il t’as ré-ta-mé le fion gros j’ai jamais vu ça ! T’es pas censé être insensible aux dégâts vu que t’es un logia et tout ?”

“Jt’ai déjà dit que c’était pas automatique, crétin ! Je dois y penser avant de- AIE MAIS PUTAIN KAGURA TU VEUX ME SOIGNER OU TU VEUX ACHEVER CE QUE TON MEC A COMMENCER ?”

L’hilarité générale s’ensuit. Le fier Cesare, grande gueule et indiscipliné, en train de pleurer comme une madeleine parce que sa supérieur lui attachait une attelle et appliquait de l’antiseptique sur ses plaies. Les membres de l’unité de Kagura ne purent s’empêcher de rire de bon cœur. Même Kagura, qui est d’habitude si sérieuse, voir austère, ne put s'empêcher de rigoler avec ses hommes.

“Ma parole Cesare t’es vraiment une drama queen. Change pas, on a besoin de chochottes comme toi pour entretenir le moral !”

“Peuh ! Il a juste eu de la chance, rien de plus ! La prochaine fois, c’est moi qui lui ferait le portrait ! Parole d’homme !”

La franchise et l’entrain du jeune Cesare touchait la corde sensible de Kagura, qui ne put s'empêcher de voir en lui un frère turbulent et aimant.

“Je n’en doute pas un instant, mon petit gars”, termina-t-elle en passant sa main sur ses cheveux.

C’était une époque fabuleuse. Kagura était le genre de personne pour qui il n’aurait pas hésité un seul instant à donner sa vie. Et il croyait sincèrement en l’idéal de justice de la Marine.

Cependant, il fut une seconde fois heurté à la sombre réalité du monde.

Nous voila en 1540.

Deux sombres évènements chamboulent sa vie
La première est que son frère, Beyond Pluto, est porté disparu suite à une opération militaire.

Et l’incident de Longring Longrang, dont le Gouvernement Mondial décida de faire porter entièrement le chapeau à Kagura
Injuste pour Cesare, ce dernier causa tellement de grabuge à l’annonce de la nouvelle qu’il termina en cours martiale et renvoyé de la Marine du Gouvernement Mondiale.

Tout seul et sans repère, il ne savait absolument pas quoi faire de sa vie. Qu’est-ce qu’il pouvait bien devenir dans un monde où les puissants écrasent les faibles ? Ou le pouvoir politique était donné aux gens les moins méritants ? Ou le gouvernement mondial s’alliait avec les criminels qu’ils avaient juré d’éradiquer ?

Alors qu’il était perdu dans ses pensées, il tomba sur une affiche d’un quelconque pirate.

“Recherché… Mort ou vif… Pour- Whoa ! C’est un sacré paquet de pognon ça ! J'pourrais vivre tranquille pendant des semaines si j'empochais tout ce fric..."

La suite lui vint comme une évidence.

“Je vais devenir chasseur de primes.”

Chapitre 3

“Black Air Force ? Vous êtes sûr de votre choix Monsieur Balafré ?”

“Pourquoi ? Ce nom en jette pourtant, il est trop classe !”

“Je ne pense pas non… En fait ce nom fait tellement ringard qu’on dirait que tu es un vieux plouc qui tente de rester jeune et branché alors que tu n’arrives même pas à rester en phase avec ton temps !”

Les paroles de la petite Billie ont lacéré le cœur et l’âme de Cesare comme un couteau denté. Sous son visage innocent, une violence pire que celle des Quatres Empereurs Pirates étaient dissimulés. Et sa voix angélique cachait une arme bien plus redoutable que toutes les armes antiques réunies.

Des mots durs, mais souvent justes.

Bouillonnant de rage mais surtout de honte, il se mit à poursuivre la jeune fille, déterminé à lui régler son compte.

“J’vais te faire ravaler tes paroles moi ! Attends ici que je t’attrape, sale gosse !”

“Kyaaaaaaaaah ! Au secours ! Un vieux monsieur balafré tout moche essaye de me kidnapper pour me faire subir toute sorte de torture !”

“ARRÊTE DE RACONTER N’IMPORTE QUOI BILLIE ! C’EST VRAIMENT PAS DRÔLE”

“Il a l'âge d’être mon père et pourtant il insiste à me faire la cour ! A l’aaaaaaaide !”

Et le plan de l’espiègle Billie marcha. Des badauds qui entendirent et virent la scène commencèrent à juger le chasseur de primes.

“C’est pas le super rookie des chasseurs de prime qui fait parler de lui dernièrement ? Pourquoi fait-il ça ? Il y a une prime sur sa culotte c’est ça ?”

“Quelle honte franchement… Quand je pensais avoir de l’admiration pour lui… au final c’est qu’un pervers qui court après des fillettes”

“La pauvre Billie… Déjà qu’elle a perdu ses parents, on ne peut pas lui laisser tomber entre les mains de ce dangereux dégénéré ! Allons l’aider !”

Cesare vit le visage des villageois passer du doute au dégout puis à la volonté pure et simple de lui refaire le portrait.

“Non… non … Attendez ! Ce n’est pas ce que vous croyez-”
“Silence pervers ! Tu trainais déjà trop près de cette petite, nous ne te laisserons pas toucher à Billie !”
“Je vous jure qu’il y a méprise ! Nous nous amusons, pas vrai Billie ? Dis leur que tu plaisantais !”, supplia l’ancien noble - désormais dépourvu de toute noblesse.

La petite fille, dans sa cruauté totale, pencha la tête innocemment, posa son index sur sa lèvre inférieur et dit d’une voix enfantine, emplie de candeur :

“C’est vrai ! On jouait -”

Cesare poussa un soupire de soulagement

“-à comment faire des bébés ! Même qu’il a dit d’abord qu’il “voulait me chopper” ! Hé, Monsieur le Balafré ! ça veut dire quoi “chopper !”

Cesare voulait mourir. Son souhait fut exaucé car les villageois s’empressèrent de lui démolir la gueule. Sa dernière pensée avant le déluge de coup fut adressé à cette fille espiègle, qu’il maudissait de tout son être.



“Putaaaaain, ils ne m’ont clairement pas loupé. Encore 5 minutes de plus entre leurs mains et je finissait à l'hôpital. Je te remercie pas, t’es clairement une bouffone.”

Billie se contenta de rigoler.

“Désolé, Monsieur Balafré. J’avoue que je suis allé un peu trop loin ! Mais regardez le bon côté des choses ! Vous avez de l’alcool gratuit pour toute la soirée !”

“Tu parles d’un cadeau ! J’gagne assez bien ma vie pour me cuiter la gueule tout seul, morveuse !”

Alors qu’il continuait à se chamailler avec l’enfant, un homme tout vétu de noir prit place à côté de lui. Masqué, il ne voulait visiblement pas qu’on le reconnaisse.

“Cesare Armadillo Claudius je présume ?”

“Lui-même. Qu’est-ce qui t’amène ? Et t’es qui ?”

“Je ne peux pas vous dire qui je suis mais je peux vous dire que je suis venu à vous pour mettre à profit vos compétences. Pouvons-nous en discuter en privé ?”

“Nan. La flemme, dit ce que t’as à dire ici ou fous le camp.”

“Nous savons qui vous êtes.”

Cesare posa doucement sa chope.

“Répète ? J’ai cru t’entendre dire une connerie. Tu sais qui je suis ?”

L’homme masqué se rapprocha de l’oreille du balafré. Malgré son masque, Cesare pouvait sentir que cet homme souriait

“Dois-je vous appeler par votre véritable nom, Cesare Arma Dio  Claudius ? Ou juste le titre de Saint sera suffisant ?”

Le visage de l’ancien dragon céleste se crispa. Il ne bluffait pas.

“J’t’observe depuis un moment tu sais. J’ai à quel point tu te tues à la taches pour vivre une vie selon tes propres termes C’est quelque chose de respectable. Mais je n’aurais aucun scrupule à la détruire si tu ne me donnes pas ce que je veux. J’ai aucune envie d’arriver à une telle extrémité, c’est pourquoi je te demande encore une fois : pouvons-nous discuter en privé ?”

Cesare enfila sa veste et sorti un cigare ainsi qu’un briquet.

“Allons dehors.”
Les deux hommes se dirigèrent à l’extérieur de la taverne, à l’abri des regards et des oreilles indiscrets. Puis, l’homme masqué reprit la parole.

“De grands changements se préparent. L’ascension inattendue de Rognor qui veut prétendre au titre de Seigneur des Pirates a pris mes employeurs de cour. Dans le cadre d’un plan de grande envergure visant à le neutraliser, nous avons décidé de déployer les grands moyens pour le stopper.”

“Et c’est la que j’interviens j’imagine.”

“Exactement. Nous voulons t’engager afin que tu retrouve et capture Galliard Jackson, 3ème commandant de flotte de Rognor.”

Cesare avait du mal à dissimuler sa surprise.

“Vous êtes conscients de ce que vous me demandez ? Vous voulez m’envoyer faire une mission suicide alors que je ne sais même pas qui t’es, espèce de batard ? Et en plus de ça, Galliard Jackson ? Sérieusement ?”

“Je ne vous prenais pas pour une poule mouillé, Claudius. Peut-être que-”

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase. Le poing du blond se connecta à la mâchoire de son interlocuteur qui vit sa bouche se délester de deux dents.

“Ne joues pas avec ma bite, baltringue.”

Il le redressa par d’une seule main et le saisit par le col.

“Depuis le début tu fais le malin avec moi. Tu essayes de me faire chanter, tu me prends de haut et la tu oses m’insulter, alors que tu as expréssement dit avoir besoin de moi ?”

Le chasseur de prime commença à se transformer. Son corps devenait plus grand, plus épais. Ses mains, plus fortes et griffus et certaines commençaient à lacérer son “client”.

“Tu n’as jamais été en position de force avec moi. Donc reste tranquille si tu tiens pas…”

Alors qu’il continuait à le comprimer, il le fixa droit dans les yeux avant de dévoiler une rangée de dents bien plus acérés que n’importe quel sabre qu’il avait vu dans sa vie.

“... à être bouffé tout cru.”

Un hochement de tête vif et fébrile fut tout ce dont Cesare avait besoin pour le lâcher.

“Mes excuses. J’étais obligé de vous provoquer pour voir de quel bois vous étiez fait. Vous êtes la trempe d’homme parfait pour ce genre de mission. Bien entendu, si vous réussissez, nous vous payerons grassement. Au moins le double de sa prime. Et nous avons déjà pris la liberté de vous verser un acompte, vu la mission dangereuse que l’on vous propose.”

“Bah t’aurais dû commencer par la, frérot ! Pourquoi directement t’as cherché à m’embrouiller !”

“Parce que je devais voir quel genre d’homme vous êtes”, répéta t-il. “L’équipage de Rognor n’est pas un équipage comme les autres et c’est pas uniquement la force qui vous aidera à vaincre votre cible.”

“Ah ouais, c’est  quoi ?”

“Vous verrez par vous même.”

La traque de Galliard Jackson dura un mois. Un mois au cours duquel la cible du chasseur de prime semblait toujours lui filer entre les doigts. Mais le destin décida de lui jouer un cruel tour, lorsqu’il retourna sur l'île de Maghera pour une escale…

“PUTAIN DE MERDE COMMENT EST-CE POSSIBLE !”

Cesara n’arrêtait pas de courir. Partout où il posait le regard, il n'y avait que des flammes et la destruction.

“QUELQU’UN EST ENCORE EN VIE ? S’IL VOUS PLAIT REPONDEZ ! BILLIE ! MAMAN KATH ! BOLERO ! QUELQU’UN ! N’IMPORTE QUI ! REPONDEZ !

“Cesare… C’est toi…”

Une voix faible et haletante l’interpella derrière lui. Sans attendre, il se dirigea vers elle. Lorsqu’il vit le corps, il ne put s’empêcher d’afficher un rictus de dégoût. La plaie béante qu’elle avait laissait légèrement entrevoir ses entrailles. Sa jambe était cassée et l’os ressortait. De plus, elle avait déjà perdu beaucoup de sang.

Maman Kath, la gentille tavernière du village, en avait plus pour longtemps.

“Racontre moi ce qu’il s’est passé, Maman Kath”, dit-il en s’agenouillant auprès de la tavernière agonisante. Sa voix était inhabituellement douce.

“Ils sont … arrivés tel un raz-de-marée… En prétendant… être les pirates de Rognor… dirigé par Galliard Jackson…”

Cesare serra les poings.

“Ils nous ont massacrés… Pour faire un exemple de nous… Promouvoir une ère où la force serait synonyme de justice…”

Les larmes coulaient sur les joues de la pauvre femmes.

“Nous n’avons jamais voulu de mal à qui que ce soit… Nous étions heureux dans notre village, à profiter des bienfaits de la rivière hurlante ! Pourquoi notre manque d’ambition serait une faiblesse ?!”

La rage qu’il pouvait ressentir de la part de la tavernière était palpable. Cesare pouvait être sûr que la seule raison pour laquelle elle n’avait pas passé l’arme à gauche était le ressentiment qu’elle avait envers les envahisseurs.

“Ils ont commencé par exécuter le Maire Boléro, parce qu'on n'était pas capable de payer une rançon pour leur départ… et ensuite, ils ont commencé à nous massacrer… J’ai juste eu le temps de protéger Billie et d’autres enfant avant qu’ils tentent … de me réduire en esclavage… Mais je me suis battu de toutes mes forces… Tout ça pour qu’il me torture et me laisse pourrir ici… comme une chienne… Je me sens tellement impuissante Cesare…”

Une gerbe de sang sortit de sa bouche.

“Je t’en conjure Cesare… Promets moi de nous venger… Et de sauver ceux qui peuvent l’être…Je t’en supplie…”

Ce fut ses dernières paroles.

“Évidemment que je vais accomplir ta dernière volonté, Maman Kath. Tu n’avais pas besoin de le demander.

Il se redressa, et prit un cigare de la poche intérieur de sa veste, qu’il fuma. Puis il se dirigea vers le gigantesque navire qui mouillait sur la côte. Son pavillon noir ne laissa nul doute quant à l’identité de sa cible.

Galliard Jackson.

Troisième commandant de flotte de Rognor, connu pour sa violence irrationnelle et sa force de combat prodigieuse.

La cible de Cesare, et le boucher de l’île de Maghera.

“Hé ! Les gars ! Regardez, il y a encore un survivant !”

“Ahah t’as raison ! Traitons les comme les autres !”

Le pirate dégaina son sabre et en un éclair, visa la nuque de Cesare afin de le décap-

“FERME TA GUEULE, SALE ENCULE !”

Le coup d’épée du pirate n’arriva jamais, car le poing du chasseur de prime le fit voler plusieurs mètres au loin. Son partenaire, apeuré mais toujours belliqueux, tenta de saisir son pistolet mais Cesare le prit de cour en serrant de toute sa force sa gorge avec une main à l’apparence reptilienne.

“Dis moi où se trouve ton chef.”

Galliard Jackson était blasé. Le village n’avait ni de richesses, ni hommes forts ou femmes susceptibles de faire des esclaves et encore moins d’intérêts dans les plans de Rognon, son capitaine. Le pillage l’avait satisfait pendant un moment, mais la, il ressentait l’excitation descendre. Il laissa s’échapper un bâillement. Il n’avait plus rien à faire ici.

“Quartier-Maître, on part. Fait passer le mot.”

“A vos ordres. LES G-”

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase. Un projectile de nature inconnu venait de percuter le quartier-maître en pleine tête, l’envoyant voler dans la pile de butin sur lequel son capitaine se tenait, soulevant par la même occasion un énorme nuage de poussière. Lorsqu’il se dissipa, ce que les pirates avaient pris pour un projectile n’était rien d’autre que leur propre propre compagnon.

“Permettez-moi de me présenter.”

Une voix inconnue, forte et bourrue, se fit entendre de la direction ou le pauvre hère avait été lancé. Sa silhouette devenait plus facilement distinguable au fur et à mesure qu’il se rapprochait. Un corps imposant, environ 2 mètres. Une chemise noire aux manches  avec un pantalon blanc de haute facture. Des cheveux gominés, plaqués vers l’arrière. Pour sûr, ce type n’était pas originaire de l’île.

“Je m’appelle Cesare Armadillo Claudius. Chasseur de Primes de la guilde Black Air Force et je viens accomplir ma mission…”

Son corps se transforma de façon anarchique et prit très vite l’’allure hybride entre un homme et un monstre ancien et primitif, que tout le monde pensait éteint : le tyrannosaurus rex.

“QUI CONSISTE A NIQUER VOTRE PUTAIN DE RACE !”

“Et voila un énième chasseur de tête qui balance des menaces plus grandes que lui. LES GARS ! VOUS AVEZ 5 MINUTES POUR ME RAPPORTER SA TÊTE ! ET QU'ÇA SAUTE ! 100 MILLIONS DE BERRYS POUR CELUI QUI M’LA RAMENE”

La horde de pirates, galvanisée par la récompense, fonça directement sur le chasseur de primes. Mais leur excitation se changea petit à petit en peur quand ils virent le corps de Cesare grandir, s’élargir et se déformer.
Devant eux ne se tenait plus un homme, mais un monstre de 6 mètres de haut issu d’un temps ancien et primitif, connu pour sa force titanesque et sa résilience à tout épreuve.

Le prédateur ultime : le Tyrannosaurus Rex.

“DEGAGEZ, LES SOUS FIFRES ! TYRANT SWIPE ! ”

La queue du gigantesque saurien bougea brusquement vers les pirates qui furent balayé tel des fétus de paille. La force du coup était tel que plusieurs étaient sonnés sur le coup. D’autres firent un vol plané dans les airs. Certains, les moyens chanceux, étaient mort sur le coup. Cette première démonstration de force calma fortement les ardeurs de ses adversaires, qui se mirent à hésiter à l’attaquer.

Puis il se transforma sous sa forme hybride et chargea la foule.

“J’VAIS VOUS RENDRE AU CENTUPLES LE MAL QUE VOUS AVEZ FAIT À CES VILLAGEOIS !”

Ce qui en suivit fut une démonstration de violence comme on en voit rarement. Cesare, galvanisé par sa rage, balayait, tranchait et déchiqueter sans effort l’équipage de Galliard. Il ne leur donnait pas la possibilité de fuir, non. Chaque pirate présent sur l'île allait mourir.

“CA C’EST POUR BOLERO ! TYRANT THRUST !”

Ses griffes acérées perforèrent le torse de son adversaire.

“PRENDS ÇA POUR MAMAN KATH ! TYRANT METEOR STOMP !”

Il s’élança dans les airs puis pulvérisa la cage thoracique d’un autre à l’aide de ses puissantes jambes.

“ET CA, C’EST POUR BILLIE ! TYRANT MAW !”

Ses crocs meurtriers se fermèrent tel un étau sur la gorge d’un pillard.

Et cette danse macabre continuait. Très vite, il eut fini de s’occuper des pirates, qui gisaient au pied d’une bête à l’apparence reptilienne couverte de sang.

“C’est malin ! J’vais comment pour quitter ce trou perdu ? Espèce de monstre répugnant va.”

“Ne t’en fais pas, je vais faire en sorte à ce que toi et tes hommes puissent naviguer à nouveau. En Enfer, ça te dit ?”

“AHAHAHAHAH ! Jamais je n’aurais cru croiser une proie aussi interessante que toi sur cette île de merde.”

Il dégaina son sabre et se lança sur le balafré.

“Ne te méprends pas, bâtard. Tu es la proie. Ma proie.”

En réponse à l’assaut de Galliard il arma son bras et s’élança à son tour.

“COCYTUS SLASH”

“TYRANT THRUST”

Au premier échange de coup, leurs Fluides offensifs entrèrent en collision. Ils restèrent plusieurs secondes immobiles avant de séparer. Ce premier échange de coup fit comprendre aux deux combattants une information capitale : ils étaient du même niveau. Par conséquent, le gagnant sera décidé à celui qui aura la plus forte volonté.

“J’VAIS T’ENVOYER REJOINDRE CES BOUSEUX, CLAUDIUS”

“FERME TA GUEULE, JACKSON”

Le combat qui suivit fut sanglant, impitoyable et épique. Les deux adversaires se rendaient coup pour coup dans un déluge de fer, de griffes et de sang. Le talent de Galliard au sabre était tel qu’il parvenait à délivrer plusieurs coups capables d’aller au travers de la peau épaisse d’un Cesare transformé.
En revanche, ce dernier n’était pas en reste. Il n’avait à aucun moment ralenti sa cadence ou montré des signes de faiblesse, et ce en dépit des blessures sérieuses que lui infligeait son adversaire.
Le rictus sadique de Galliard rencontra le faciès déformé par la rage du chasseur de primes.

“Je dois admettre, que tu es l'adversaire le plus fort qu’il m’a été donné de rencontrer sur ces mers. Mais il est temps de mettre un terme à ce combat !.”

Il rengaine son épée et se concentra entièrement sur son adversaire. Cette fois-ci, on ne pouvait décerner qu’une seule émotion sur son visage :

Une concentration à toute épreuve.

“Tu as raison, mettons un terme à ce combat, que les morts puissent enfin reposer en paix.”

Cesare se mit en position. Son bras droit placé en arrière afin de lui donner un maximum d’élan. Tout ses sens étaient en alerte. Ses sens de prédateur préhistorique bien sur, mais aussi son fluide de l’observation et de l’armement.

*Je dois mettre tout ce que j’ai dedans. Toute ma vie se joue sur ce coup la.*

Le silence du champ de bataille n’était pertubé que par le crépitement des flammes. Puis, les deux s’élancèrent, déterminer à emmener leur proie dans la tombe

“EMPYREAN SLASH”

“TYRANT RAVE”

Tout se passa en un instant. La lame de Galliard entaille profondément le corps de Cesare. Le balafré, quant à lui, ne parvient pas à atteindre. Les secondes semblaient durer des heures. Puis, le pirate de Rognon rompit le silence.

“J’arrive pas à le croire… Tu es comme le capitaine… Un conquérant ?”

Le torse de Galliard s'ouvre brutalement dans un déchirement de douleur, laissant apparaître un trou assez béant pour qu’on puisse voir au travers. Les organes à l’intérieur avaient été comprimés, réduits en bouillis. Étendu sur le sol, il comprit qu’il avait fait une erreur.

Cesare l’avait bel et bien atteint. Il serait même possible qu’il l'ait atteint en premier.

Il n’avait juste pas besoin de le toucher.

“Je ne sais pas de quoi tu parles.”

Il se dirigea lentement vers sa cible.

“J’ai tout simplement mis tout ce que j’avais dans ce coup. Ma vie, mes ambitions, ma fierté, tout ce que j’avais. Ta lame n’existait que pour le carnage.”

Il saisit le pirate agonisant par le col.

“IL ÉTAIT TOUT BONNEMENT IMPOSSIBLE QUE JE ME LAISSE DOMINER PAR UN CONNARD DE TON ESPÈCE ! JAMAIS JE N’ACCEPTERAI DE PERDRE FACE A UN HOMME QUI PRENDS DU PLAISIR À PIÉTINER LA VIE D’AUTRUI ! ”

“Je… vois…”, répondit-il en crachotant du sang. J’ai peut-être fait une erreur… en m’en prenant à toi… ah…aha… ah…”

“Tu l’as dit enculé. Et- Oh non j’y crois pas, ce connard s’en est allé le sourire au lèvres.”

En cette année 1545, la troisième flotte de Rognor fut stoppé net par l'effort héroïque d'un chasseur de prime indépendant. Cette échec militaire sera déterminant dans la chute de Rognor et de son équipage dans les années qui vont suivre. Cesare, quant à lui, vit sa popularité monter en flèche. Et bientôt, il sera rejoint par des compagnons, aussi fort et déterminé que lui, mais ça, c'est une histoire pour un autre temps.




 
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Dernière édition par Cesare A. Claudius le Lun 3 Juil - 17:44, édité 1 fois
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Hoï ! La présentation est elle terminée ?
Cesare A. Claudius
Sam 27 Mai - 18:18
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Presque juste de la relecture et mise en page !
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Dim 16 Juil - 22:48
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La relecture est sacrément longue ! Où en es tu ?
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Ven 18 Aoû - 9:14
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Hoi, où en est la présentation ?
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