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One PieceFORUM ONE PIECE · AVATARS MANGA · 200*400

New World

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14.11.21Création du forum, puis ouverture de la phase bêta en Décembre.
01.02.22Ouverture officielle du forum.
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Lun 9 Mai - 2:49
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L'ennemi de mon ennemi...



« Cet endroit est sordide... »
« Oui. Surement l'un des pire au monde... »
« Tu peux me rappeler ce qu'on fait là ? »
« Ce que l'on fait là... »
« Oui... façon de parler. »
Un petit soupir s'échappa des lèvres de Karma.« L'un de nos agent c'est fait attraper par un groupe d'esclavagiste, il est ici quelque part... Et il a des information dont j'ai besoin. » Ajustant ses lunettes de soleil sur son nez, il croisa le regard d'un homme qui le dévisageait étrangement. En effet, cette personne ne devait voir qu'un étrange jeune homme, presque albinos qui parlait seul. Après tout, Anna était morte depuis un peu plus d'un an, il s'accrochait désespérément à une hallucination, un écho de sa femme et la mère de leur fille, morte elle aussi.

« Et comment tu comptes le trouver ici ? Cette ville est immense et il y a des esclaves partout. »
«  T’en fais pas... » il lui adressa un petit clin d'oeil. « Quelqu'un est ici... Un révolutionnaire qui libère des esclaves. S'il est là, c'est qu'il compte faire un coup... Je vais me joindre à lui et utiliser son attaque sur les camps pour trouver et libérer ma cible. En échange je participerai à son raid. »
« Tu aiderais un révolutionnaire ?!! Mais tu es un agent du gouvernement ?! »
« L'ennemi de mon ennemi est mon ami... L'île est bien défendue, il ne crachera pas sur une main tendue. Laisse-moi maintenant... Je dois être concentré... »

Elle lui envoya un baisé avant de disparaître avec son habituel sourire radieux et encore une fois, le cœur de l'agent du gouvernement s'étreint. Il serra la mâchoire, ravalant les larmes qui menaçait de couler de long de ses joues et s'approcha d'un grand bâtiment gardé par un Minks de la famille des gorilles.
Karma se foutait pas mal de la race des uns et des autres. Il n'était pas du genre à établir une hiérarchie des races. En revanche, il n'était pas sûr que cela soit le cas du gardien.

« Humain... Tu n'as rien à faire ici. Dégage. »
« Allons mon grand... laisse-moi une chance de t'expliquer pourquoi je suis ici. » Mon grand... C'était peu de le dire ! Il devait être trois fois plus grand que l'agent du Cipher Pol. « Je sais qui est dans le bâtiment derrière toi... j'ai juste besoin de lui parler. J'ai un marché à lui proposer. »
Le gorille observa quelque seconde son vis-à-vis, ne s'entendant visiblement pas à ce genre de requête.
« Le chef a dit que personne ne devait le déranger ! »
« Allez... Je suis sûr qu'il pourrait faire une exception pour moi... S'il te plait ? »
« Écoute-moi... » Il leva une lourde masse au-dessus de sa tête. « Si tu ne dégages pas d'ici dans trois secondes, je t'écrase. »

FLASHBACK 1548 : L'ennemi de mon ennemi... FT Razash Ety4

Karma ne bougea pas d'un poil et fidèle à sa promesse, le primate essaya de l'écraser avec sa lourde masse. L'agent du gouvernement se contenta de lever la main en l'air tout en utilisant son tekkai. L'arme se fracasse sur le bras du Croc Blanc et fut entièrement disloqué sous le regard choqué du Minks.
« Bien... maintenant, accepterais-tu de signifier ma bienvenue à ton chef ? »

FLASHBACK 1548 : L'ennemi de mon ennemi... FT Razash Tdus

Dépassé par les événements, le Goliath fonça dans le bâtiment... Satisfait, mais peu rassuré, Karma décida de lui emboiter le pas et ouvrit en grand la double porte du bâtiment.
« Messieurs dames BONJOUR ! Je cherche un dénommé Razash ! »

©gotheim pour epicode
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Mar 10 Mai - 0:32
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L'ennemi de mon ennemi...

Feat Karma

Assis, ton regard se perdait à travers le hublot de votre navire. L'heure de passer à l'action s'approchait de plus en plus et tu avais du mal à te reposer pour être au mieux de ta forme. Ton esprit fourmillait de pensées, d'idées et plan tous aussi différent que celui que tu avais proposé à ton équipage durant la journée. Après cela, ils avaient quartier libre jusqu'à ce qu'il passe à l'action. Bien entendu, ils ont des restrictions afin d'éviter toute distraction futile et de se retrouver en retard. Pour ce soir, votre cible, un réseau d'esclavage de Mink, que vous allez démanteler.

Un coup léger mais sec se fit entendre sur la porte de ta cabine. Tu tournas les regard en entendant une personne rentrer à pas feutré. Il n'y en avait qu'une qui pouvait avoir l'audace de faire une telle chose et tu ne peux te retenir de sourire, faisant toujours face à la fenêtre. Quelques secondes après, des mains vinrent passer sur tes flancs, pour remonter sur ton torse et se poser dessus. Une fourrure cendrée se frotta contre ton dos et tu pus sentir un souffle chaud dans ta nuque. Mélyne, une compagne que tu appréciais avoir à tes côtés pour ses talents de roublarde mais aussi pour... Disons, sa physique pour certaines longues nuits.


- A quoi penses-tu Razash ?

Une voix douce et suave s'insinua dans tes oreilles, une voix dont tu avais du mal à résister par moment. Elle savait comment te toucher, comment te faire réagir et comment même t'arracher quelques mots, si ce n'est de phrase. Aussi stoïque sois-tu, tu es toujours en détresse quand tu croises ces grands yeux violacé papillonnant, cette bouche appelant à être embrassé, ses courbes et ses formes... oui, rien en elle ne te laissait indifférent. Malheureusement, pour ce soir, il n'y aurait rien. Mais si vous savez, les règles pour ne pas se laisser distraire... Et bien tout cela en faisait parti.

Tu tournas le visage vers elle et désigna l'extérieur, où l'on pouvait voir l'île non loin de votre position. Tu pensais à la mission, à tes camarades, tes confrères prisonnier. Serrant le poing, tu les imaginais faible, décharné, amaigri, attendant la mort comme une douce délivrance. Un grondement remonta le long de ta gorge, qui fut rapidement court-circuité par des mains habiles sur tes épaules. Oui, elle te connaissait que trop bien.


- Ne t'en fais pas, tout se passera bien, comme à chaque fois. Ce n'est pas la première fois que nous faisons cela, tu le sais bien...

Tu hochais la tête et soupirais de résignation, tentant d'éloigner ses mornes pensées de ta tête. Elle avait raison, comme souvent, si ce n'est pas toujours. Fermant les yeux, tu te laissais aller à profiter de ses doigts qui dénouait ton corps mais aussi ton esprit. Soufflant, tu te sentais apaisé, plus léger au fur et à mesure qu'elle descendait le long de ta colonne. Si seulement cela pouvait durer éternellement pensais-tu... Plus besoin de te tracasser de tout cela, de sauver le monde à ta manière... Mais non, il faut qu'il y ait un abruti qui viennent tout gacher.

Au dehors, tes oreilles captèrent un remue ménage important. Mélyne l'avait entendu aussi et vous vous êtes retourné de concert quand les battants de la porte s'ouvrir pour laisser entrer un homme des plus exubérant. Ta camarade se mit à feuler quand il prononça ton nom. Bien que tu sois connu, il est plus rare parmi les bipèdes sans poil de venir te chercher. Ta réputation de délivrer des esclaves ne plaisaient pas à tout le monde. Surtout pour les Pirates, qui perdait souvent la confiance des richards de merde qui achetaient les pauvres ères qui avaient la malchance de se retrouvaient dans leur griffe.

Mélyne allait lui rétorquer que tu levais le poing pour lui intimer le silence. S'il avait pris la peine de venir jusqu'à toi, sans brutalité de surcroît, tu pouvais te permettre de lui laisser une chance de s'expliquer. D'un mouvement de tête, tu ordonnas à la féline de sortir, histoire de voir que tout va bien à l'extérieur. Une lueur mauvaise passa de toi à l'homme mais elle se résigna, non sans cracher sur le nouveau venu. Une fois sorti et la porte refermé, tu soupiras et te leva pour t'avancer vers lui. Sur ses mers, il y avait des gens de toutes tailles, pouvant dominer de leur stature. Pour ce soir, c'est de toute ta masse que tu menaçais celui qui te cherchais.
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Dim 15 Mai - 4:16
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L'ennemi de mon ennemi...



Durant sa vie, Karma avait fait des entrées. Des discrètes, des théâtrales des explosives... mais il n'avait que rarement fait aussi peu l'unanimité que cette fois-là.
À peine rentra-t-il dans la pièce que des yeux mauvais se rivèrent sur lui. Il pouvait clairement lire de l'animosité dans les regards qui lui étaient adressés, voir même de la haine.  Cependant, il en fallait plus pour déstabiliser l'agent du gouvernement qui garda un grand sourire accroché au visage. Non pas un sourire moqueur qui aurait pu éveiller le ressentiment de ses hôtes, mais un authentique sourire amical qu'il adressa aux félins.
D'un simple geste, celui qu'il devina être le chef congédia une jeune minks qui ne manqua pas de cracher vers lui quand elle passa près de lui.

« Pas commode... » Marmonna l'agent qui pour sa part la trouvait assez jolie... Attendez une seconde... Était-ce une sorte de déviance qu'il valait mieux ne pas assumer ?

Il rangea ses cogitations dans un coin de sa tête alors qu'il se trouvait maintenant face à face avec le célèbre chef de cette bande de perturbateurs. D'un air théâtral, Karma plaqua sa main sur son front comme pour lutter contre les rayons du soleil et regarda vers le visage de son interlocuteur en poussant un sifflement impressionné..

« Et bien toi alors... On m'a toujours dit que la soupe faisait grandir... mais connaissant le régime alimentaire des tigres j'imagine que c'est faux... À moins que tu ne manges toi aussi de la soupe ? »
Piètre entré en matière, mais l'agent se ressaisit et se racla la gorge avant de poursuivre. « Je me nome Thorn et je suis un chasseur de prime. Ce n'est pas pour ta tête que je suis là aujourd'hui, mais pour un autre contrat... Je dois délivrer quelqu'un que cette bande de primates... euh... Je n'ai rien contre les primates hein... Enfin... » Il marqua un silence avant de reprendre. « … Que cette bande d'esclavagistes a emprisonné. Je vais être très direct avec toi, j'imagine que si tu es dans le coin c'est pour libérer les pauvres types que ses pourritures ont arrêté. Et tu sais quoi... je peux t'y aider ! On frappe en même temps, de manière coordonnée... Je t'aide toi et ta bande, vous assurez mes arrières et on aura tous les deux plus de chances de finir la journée en ayant accomplis notre mission. Qu'en dis-tu ? »

Et il finit en lui tendant la main. Ses yeux saphirs rivés vers celui du haut personnage, il ne savait pas trop à quoi s'attendre. Après tout, il avait bien compris que sa présence n'était en premier lieu pas acceptée.
Il n'avait que peu d'information sur cette bande peut être était-il résolument anti-humain et qu'alors ils refuseraient tout net de collaborer avec lui.
Karma lui n'était pas raciste. Il se foutait pas mal de la race de gens, seules leur compétence et la pureté de leur cœur avaient une réelle importance à ses yeux.  


©gotheim pour epicode
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Sam 21 Mai - 13:10
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L'ennemi de mon ennemi...

Feat Karma

Un grognement sourd commençais à monter le long de ta gorge. Quoi de plus normal quand la personne qui se présentais à toi se désignait comme un chasseur de prime ? Sur ce navire, la majorité de l'équipage, pour ne pas dire tout le monde, se composait de personnes avec une prime sur la tête. Et tu ne laisserais personne les réduire en esclavage. Plutôt mourir qu'une telle infamie ne se produise. Ton poing se serra et tu t'avanças un peu plus vers lui, le toisant d'un œil des plus mauvais.

Tu ne compris pas pourquoi le mot primate le troublait autant. Au contraire, si quelqu'un devait s'offusquer, c'était bien lui, que tu considérais comme un macaque sans poil donc un primate, au vu de sa taille plutôt inférieur par rapport à ceux de ton espèce. Quoi qu'il en soit, il eu de la chance que tu es la patience et l'envie d'écouter son histoire. Tu aurais simplement pu le décoller une droite des plus magistrales histoire de lui faire comprendre sa place. A la place, docilement, tu prêtais une oreille à sa supplique.

Il semblerait qu'il soit dans la même situation que toi, à chercher à libérer des esclaves. Pourtant, tu ne lui faisais pas confiance. D'un côté, débarqué comme ça ne pouvait montrer un piège. Sinon, ils vous seraient tomber dessus des la nuit tombé. Néanmoins, tu reniflais un relent de mensonge sans que tu puisses déterminer sur quel parti de son histoire cela pouvait provenir. Tu passas une main sur ton menton, en signe de réflexion, ne pouvant t'empêcher de l'observer un peu plus. On ne peux se fier sur l'apparence sur ce monde pour juger les compétences et une personne de plus ne serait pas de trop.

Tu regardas la main qu'il te tendais sans savoir si tu allais la serrer ou non. Sceller ce genre d'acte ne pouvait se faire par une simple poignée de main. Mais c'est peu probable que tu lui fasses signer le moindre papier, tu détestais cela. Alors quoi, un test d'aptitude ? Non, on le verra bien sur le terrain s'il est capable de s'en sortir tout seul. Tu n'auras pas le temps de t'occuper de lui et de le protéger. Résolu, tu te retournas et pris place sur une chaise assez massive, suffisamment pour contenir ta carrure. Tirant une tiroir d'une commode, tu en sortis une bouteille et deux verres, dont l'un s'approcha de ton invité.

Autant conclure avec un peu d'alcool. Le liquide dans la bouteille possédait une couleur marron, tirant sur le chocolat. Le bouchon fit un petit bruit quand il fut retiré, une bonne rasade coula dans les récipients. Une fois vous deux servis, tu pris ton verre et attendit qu'ils fassent de même. En théorie, tu interdisais de boire la veille d'une expédition. Mais il ne connaissait pas vos coutumes et cela ne te ferait pas de mal. Et il avait intérêt à accepter s'il voulait s'assurer une coopération entre vous deux, sinon cela risquait de mal se passer.


- Dans une heure.

Tu lâchas cela dans un souffle grave avant de boire ton verre cul-sec et le reposer. Tu l'invitais gentiment à aller patienter, à moins qu'il ne veuille rester discuter avec toi. Normalement, il a quand même compris que tu n'étais pas ce genre de personne mais tu pouvais lui faire l'honneur d'être une oreille attentive à ses histoires. Tu ponctuerais par des grognements et des hochements de tête, parfois avec un ou deux mots, un honneur des plus appréciables. Sans t'en rendre compte, tu te servis un deuxième verre. Celui-ci, tu allais le déguster.
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