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One PieceFORUM ONE PIECE · AVATARS MANGA · 200*400

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Takamura Kogoro
L'ogre
Mer 9 Nov - 10:56
Takamura Kogoro
Takamura Kogoro
Takamura Kogoro

Feuille de personnage
Dorikis: 25.600
FDD/ Armes:
Berrys: 1 280 250 000
Réputation: Mondialement Connu
Influence: Adulé (Menace = Racistes)
Localisation: Ecumexy
Takamura Kogoro

Everybody was a kung-fu fighting.Those cats were fast as lightning.In fact it was a little bit frightning. But they fought with expert timing

They were funky China men from funky Chinatown.They were chopping them up and they were chopping them down. It's an ancient Chineese art and everybody knew their part. From a fainting to a slip and kicking from the hip
Ecumexy Jazz


Pour qui a un nez entraîné, l’odeur du soufre devient une caractéristique fondamentale des villes au sein desquelles se trament d’obscurs échanges. Le terme odeur est sans doute galvaudé, il s’agit principalement d’une ambiance, quand tu traverses une rue et que tu sens une dizaines d’yeux qui m'épient, quand au croisement d’une venelle, tu y aperçoit quelques dents et que l’odeur de sang charrie l’atmosphère, t’as pas besoin d’un guide pour comprendre qu’il s’agit d’une ville où la poudre parle plus que la loi. Kyo était parti en excursion, j’en avais fait de même, laissant Zephyr au loisir de surveiller tout notre petit monde. Quoi qu’il arrive, Serge n’est pas loin, et je ne connais pas grand monde suffisamment courageux pour s’approcher d’un serpent d’une vingtaine de mètres. Mon petit tour avait commencé par la partie immergée. Véritable joyau d’architecture dont les couleurs et les courbes n’étaient pas sans m’évoquer mon île natale, celle des hommes-poissons.

Je n’y suis pas resté longtemps, elle avait quelque chose de déplaisant. C’est un petit peu comme retourner dans un logement qui a connu plusieurs nouveaux locataires entre-temps. Tu reconnais l’emplacement, la taille des pièces, mais rien de la disposition des meubles, de la couleur du mur, voire même de l’odeur ne t'indique que tu es de retour chez toi, au mieux que tu es de retour là où le temps a effacé ton empreinte. J’espérais y trouver des charpentiers ou des trucs qui permettrait de reconstruire le Del janeiro, Mais ici, ce qui importe ce n’est pas qu’un navire reste à flot, mais de savoir depuis combien de temps il a touché le fond. J’ai donc croisé la foule bigarrée qui compose une ville de poissons, cela fait des décennies que je n’en ai pas croisé autant. Mais même ici, j’étais en partie un intrus. Certes je collais à la faune locale, mais je n’étais pas un des leurs.

Bien que les sociétés sous-marines restent plus ou moins égalitaires, on garde tous, profondément ancrés en nous, nos origines bestiales. Si bien qu’un saumon va toujours regarder d’un drôle d’œil un requin. Et c’était l’impression que j’avais ici, j’étais trop patibulaire pour les locaux. Malgré tout, j’ai été hélé à par pas mal de personnes, à la devanture des bars, certains juste pour accueillir ce qu’ils pensaient être une nouvelle personne dans leur communautés, d’autres pour demander des nouvelles d’en bas, et d’autres, plus rares, me reconnaissaient. Après tout, il n’existe pas tant de chasseurs de primes poissons dans ce bas monde. Après quelques verres et anecdotes, j’ai repris ma route, ce n’était pas ici que je trouverai ma liberté. Ou tout du moins pas aujourd’hui, j’avais un autre objectif en tête.


J’ai donc rejoint la surface, remarquant avec effarement que j’en étais venu à plus me sentir à ma place sur la terre ferme que sous la mer. Ou tout du moins, j’étais plus habitué aux regards de défiances qu’aux sourires et à la politesse mesurée des habitants des fonds marins. Après, il faut reconnaître une chose, sûr une île dans lesquelles ceux de la surface et ceux des profondeurs cohabitent, ce n’est pas ma race qui attire la défiance. Je sors un bout de papier froissé du fond de ma poche, j’avais un vieux pote dans le secteur, et j’étais à peu près sûr de savoir où le trouver. Je me suis donc donné la permission de pénétrer le quartier chaud et après quelques questions, je suis arrivé à ma destination. Une énorme bâtisse rutilante, où se croisait désespoir et félicité, ainsi qu’une série de molosses à l'œil mauvais, un casino.

Je m’étais changé en tenue de soirée, ces affreux costumes à noeud papillons affectionnés par les habitants de la haute. Pour rentrer, rien de plus simple, il suffit d’agiter une liasse de billets. C’est ça que j’aime avec les humains, ils sont cupides, ils peuvent au premiers abords vous détester pour votre origine, mais dés que vous montrer que vous avez de l’argent à jeter par les fenêtres, ils se métamorphosent en vos meilleurs amis. C’est donc cigare onéreux au bec, verre de whiskey 30 ans d’âge que je circule entre les tables. Dans le fond, le bruit réconfortant des machines à sous, parfois constellé d’une cascade de pièces, son du doux jackpot. Ce qui facilite grandement ma recherche.

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Et c’est au détour de l’une des bornes que je le trouve. Un vieux de la vieille, un chasseur de primes pur jus qui avait déjà sa petite renommée alors que je n'étais qu'un gladiateur. Entre temps, il s'était plus ou moins rangés, du moins, il le restait jusqu'à avoir dépensé jusqu'au dernier berry de sa dernière prime. je m'installe à coté de lui, il tourne à peine la tête.

-Alors l'Ogre, comme ça on met la main sur une vrai prime ?

-Pour tout dire elle m'est plutot tombée dessus.


-T'avais un bon appât y parait.

-Le meilleur restaurant de kébab du nouveau monde.


-Bienvenue dans le nouveau monde ! Tu me présenteras tes copains ?

Il me fait un signe de tête discret pour m'indiquer un groupe de types en noirs attablé à une table de back jack non loin, le plus jeune nous jette des coups d’œil en coin, jusqu'à ce qu'un de ces acolytes l’interrompe d'une bourrade et lui chuchoter quelques mots à l’oreille. J'indique les plusieurs seaux de piécettes qu'il avait accumulé, alors qu'il parvient à un nouveau jackpot.

-J'étais sûr que c'était les tiens.


Il me fait un grand sourire tandis que son œil bionique clignote derrière ses lunettes de soleil.

-De l'argent de poche, t'sais, moi je me balade pas avec une poignée de milliards dans mes poches.

-Ils vont être déçu, j'ai passé le plus gros à mes associés.


Nouveau jackpot.

-T'as pas envie d'aller le perdre à leur table ?


-Pour que tu te tires peinard avec tes gains ?


-P'tet bien !

» Sherlock (www.)


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Takamura Kogoro
L'ogre
Mer 9 Nov - 12:29
Takamura Kogoro
Takamura Kogoro
Takamura Kogoro

Feuille de personnage
Dorikis: 25.600
FDD/ Armes:
Berrys: 1 280 250 000
Réputation: Mondialement Connu
Influence: Adulé (Menace = Racistes)
Localisation: Ecumexy
Takamura Kogoro

Everybody was a kung-fu fighting.Those cats were fast as lightning.In fact it was a little bit frightning. But they fought with expert timing

They were funky China men from funky Chinatown.They were chopping them up and they were chopping them down. It's an ancient Chineese art and everybody knew their part. From a fainting to a slip and kicking from the hip
Ecumexy Jazz



Un nouveau jackpote passe, et mon interlocuteur me propose d’aller prendre l’air. Pour avoir déja bossé avec lui, ce n’est plus quelque chose qui m’étonne, mais pour la plupart des larons, ça doit être effrayant. Tequila Hound, c’est son surnom, bien que certains seraient d’avis de le nommer le nettoyeur, et d’autres petits malins pensaient aurait proposé monsieur Propre, avait une atmosphère bien à lui. Elle était sans doute due à sa grande stature, un oeil qui ne cille jamais, un bras d’un acier sombre, mais surtout, la désagréable impression qu’il vous garde à l’oeil et qu’il a une arme pointée sur vous. Il semble en totale maîtrise de son environnement, et sa main n’est jamais non loing de l’énorme calibre qu’il à a la hanche ou au bout du bras. Il n’est jamais pris au dépourvu, et dés l’instant ou vous pensez pouvoir le prendre à défaut, il vous regarde avec un grand sourire.

On quitte ainsi le casino sans trop d'encombre, à la recherche d’un petit resto. On parle à voix basse en traversant des quartiers de moins en moins biens famés. L’un d’eux avait ses murs criblés d’impacts de balle, ainsi que l’odeur rance des vieux cadavres. Une rixes entres deux groupes avait éclaté il y a quelques semaines de ça, depuis, le quartier n’était plus qu’habiter par des squatteurs, et la mort. On tentait d’appliquer une méthode bien ancrée au sein des Odd Ones pour perdre les personnes mal intentionnées pour une filature. Et c’est à chaque nouveau croisement qu’on avait l’impression qu’une nouvelle paire d’yeux se rajoutait à la fête. J’imagine que deux grands noms de la chasse à la prime, ça attire l’attention. On finit par rejoindre des zones plus peuplées, pas qu’on s’inquiète d’une attaque, plus qu’on voulait éviter l’escalade. Au détour d’une ruelle, je lève la tête en entendant la voix du kebabier entonné une chanson grivoise à propos d’un cuisinier dégorgeant un poireau.

On jette notre dévolu sur l’un des établissements les plus cher de la ville, le genre de boui-boui dans lequel on ne croise que des hommes d’affaires et des grand pontes de la mafia. Le genre de lieu où l’argent fait tout et aucune question n’est posée, et dont le prestige dépends de leur capacité à s’assurer qu’aucun client ne soit inopinément dérangé dans son repas par une balle dans la tête ou un coup de couteau dans le flanc. Comble du luxe, on s’offre même un repas en rooftop. Vu d’ici, la ville parait presque sereine, presque, mais j’ai cela dit traversé trop de mouroirs pour savoir que je me trouve au sein de l’un d’eux. C’est après le plat que les hostilités commencent. Un type s’invite à notre table, costume froissé, revolver camouflé sous l'aisselle, borsalino qui cache les yeux.

-Bonjour messieurs, je suis navré de vous déranger au cours de votre repas.
-Si t’es désolé casse toi !
-Pis t’iras te faire foutre aussi !

Un spasme nerveux tord les traits.

-Mon employeur vous souhaite le plus grand bien, c’est pourquoi il désire votre départ scéa–

Il n’a pas le temps de finir sa phrase qu’une déflagration éclate et réduit son crâne en une bouillie sanguinolente, les tables voisines lèvent un sourcil, un homme d’âge moyen tousse poliment, et tout le monde retourne à son assiette.


-T’aurais pu attendre qu’il finisse sa phrase… ou qu’un finisse de bouffer, on va nous virer de l’établissement là
-T’en fais pas, il valait 5 millions le gars, on leur laissera en dédommagement.

-Tu fais chier quand même !


Rapidement, un groupe de mecs musclés passent nettoyer le corps, et le patron de l’établissement, sen vient présenter toutes ses excuses pour avoir laissé rentrer quelqu’un qui se prétendait notre ami, et nous propose de nous offrir le dessert. Il faut reconnaître qu’il y beau geste, on salope leur carrelage et ils nous font une réduction. J’ignore cela dit si c’est un met de consolation pour ceux qui ne passeront pas la nuit, ou alors un manière d’inviter ceux capable d’offrir 5 millions comme de l’argent de poche à revenir dans leur établissement qui a failli à sa promesse. Un serveur, plutôt jeune, nous explique toutefois qu’il était inconvenant de régler nos comptes au sein du terrain, et que nous aurions pu attendre d’être dehors. Il nous conseille d’ailleurs de sortir par la porte de derrière.

Cela dit, le message était clair, nous ne sommes pas les bienvenus. Si ce n’est qu’un chasseur de prime, ça va, mais deux, non, c’est trop ça sent le coup fourré. Surtout quand l’un des deux est accompagné d’un kébabier qui aurait éliminé une famille, un ancien taulard et que l’autre est connu pour ne pas venir sur une île sans avoir une petite idée en tête.

-En vrai t’as raison, on sait pas si c’était vraiment un mafieux sympa, le patron du casino ou un connard, j’aurais pu lui laisser finir sa phrase.

-C’était sans doute un connard.


-Oaui, t’as raison, j’aime pas la fausse politesse.


-Moi qui espérais me reposer


-Bah écoute, c'est ça que de causer en ultimatum, "tirez vous, ou on vous tire dessus", c'est pas comme ça que t'engages la conversation, c'est eux qui ont commencé.

-En théorie, faut pas tirer sur le messager, ça fait mauvais genre.


-T'allais le balancer par dessus bord non ?

-P'tet bien !


On reprend alors notre balade, suivi par la même bande de type. On retourne vite dans le marasme bruyant des rues commerçantes et des sorties de bar, là où il y a trop de monde pour permettre aux types en noir de tenter quoi que ce soit. Pas qu'il puisse tenter quoi que ce soit ailleurs, juste que ça les emmerdera plus.

-Tu crois qu'on leur a demandé de nous suivre sans se faire remarquer ?


-Ah non, ceux là, c'est ceux qui sont là pour se faire remarquer. Ceux dont tu causes, ils sont pas mauvais, mais pas assez bon pour échapper à mon regard... genre le type qui clope là ? il est pas trop mauvais, il s'assure de toujours être en train de cloper à un croisement.

-Ah, je l'avais pas vu celui là !


-T'as un endroit ou dormir ?

-Oaui, avec le reste de ma nouvelle bande.


-Ça te dérange si je t'accompagnes, j'en ai marre de virer des scorpions de mes draps le soir.


-Pas de soucis, mais on fait quoi des autres connards là ?


-On va les laisser ouvrir les hostilités.

-On l'a pas déjà fait ça ?


-Maintenant que tu le dis...

On s'aventure alors dans une partie moins peuplée de la ville, un de celle où le crime pullule. Pour être sûr d'avoir tout le petit monde qui nous suit de se retrouver au même endroit, sans trop se soucier de dégâts collatéraux. Mon acolyte fait alors volte face et descend une petite bande de type stupéfait d'une rafales. Cela n'a duré qu'un instant, mais déjà la nuit reprend son calme, juste dérangée par le bruit métallique des douilles qui rebondissent sur le pavé, et le sifflement grinçant de la gatling prosthétique de Tequilla Hound qui finit de tourner sur un chuintement. En égards aux morts, on leur fait les poches, s'emparant de leurs maigres biens de valeurs, et on les laisse attendre leurs potes. Le message est clair, simple, et limpide, "ne nous cherchez pas de noises". Et comble de la sympathie, on laisse les macchabée en pourboire aux passants, on a mieux à faire que cash in, des types dont la plus haute prime était de 400 000 berrys pour quelques vols à mains armés.

-Oh d'ailleurs, j'ai oublié de te dire, ces types là. C'est les sbires d'un usurier auquel j'ai emprunté une coquette somme, j'avais pas l'intention de le rembourser, hein.

-Ils en avaient vraiment après toi, enfoiré Karakrkarkarkakrk !

-Par contre le type à la clope c'est un type du parrain. Et eux, sont trop malins pour chercher la merde, ils préfèrent attendre qu'on se tire

-Ca fait au moins ça de gagné.


-Dis, t'as pas un petit creux ? je connais un glacier franchement sympa !

» Sherlock (www.)


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