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Alvis Hagersson
Dim 2 Avr - 18:12
Feuille de personnage
Dorikis: 8500
FDD/ Armes:
Berrys: 60 M
Réputation: -300
Influence: -300
Localisation:
Ca avait déjà mal, commencé, quand un mecton en tenue de gala était venu lui réclamer un droit de mouillage, et de visite de l'île. Ne lui présentant aucun signe de puissance, ni d'autorité, Alvis vint le planter sur place, avant de l'envoyé se mouiller lui même, pour te rafraichir les idées, bonhomme. Ensuite, réfléchissant peu, mais bien, Alvis décida que l'équipage resterait sur le navire, pour un temps indéfini, il leur expliqua que le bateau avait plus besoin de protection que lui, et que même s'ils avaient passé un long moment en mer avant de tomber sur Exumery, ils devaient fournir encore un petit effort. Ils acceptèrent, parce que le cheval blanc était ce genre de mec charismatique, qui ne laissait jamais personne derrière s'il pouvait le récupérer et le sauver. Semper fi.
Il parcourut le rues et ruelles vide de monde déjà à ce moment là de notre histoire, et il ne croisa que des gens habillé sur leur 31 qui essayèrent de lui faire payer une taxe, ce à quoi il répondait par la négative. J'ai déjà payé en arrivant sur les quais... Allez vérifier si vous voulez ! Et comme la pègre, tout sauf idiote, voulait que les pigeons ne reviennent pour dépenser de l'argent, ils ne trouvèrent rien à redire de ce que le roi en guenille leur jactait comme s'il était certains de son bon droit.
Pratique d'avoir une morale flexible, on hésitait pas à changer en fonction du sens du vent, pour tirer ses marrons du feu, prendre la part des lions par tous les moyens... Car quand on part en chasse, c'est pour faire mains basses.
Il trouva enfin une taverne, quand il rentra, il trouva un peu plus de locaux, que de gonzigue habillé comme des pingouins. Ca lui allait, alors il se posa dans un coin de la pièce, et commanda un demi de bière, la moins cher. Déjà, il aurait du se méfier quand on lui servit la boisson, qui semblait bien délicieuse, mais dont certaines paillettes en composaient la robe. Il but la première gorgée.
Tout le monde retint son souffle, et regardèrent vers lui. Vous vous en doutez, c'était un piège. La pègre essayait de récupérer des gens pour les vendre en tant qu'esclave au plus offrant. Alvis ne comprit pas les regards de cette façon, car la première gorgée, sensée le coucher, ne fit que dédoubler sa vue, et le rendre d'humeur joueuse, jouasse et presque sympathique. Il se leva, la chopine entre les mains.
- Eh bien, messieurs ... N'avez vous jamais vu un homme déguster sa bière ? Il me semble anodin de profiter des bonnes choses de la vie, quand il le faut... Je ne comprends pas pourquoi vous me regardez tous comme si j'étais une sorte d'étrange créature... Je ne suis qu'un homme qui fait son travail d'homme pour survivre ... Voyez, j'ai une certaine vision de la vie, et des valeurs qui n'iraient pas à tout le monde ...
- Choppez moi c'batard, il parle trop ! Fit le barman, sûrement un capo, un chef d'escouade ou autre.
A ce moment là, Alvis réagit à la seconde près, et lanca le breuvage - à contre coeur- contre le premier qui avança vers lui, avec ses sombres intentions, et son manque de goût vestimentaire notable. Avec sa natte et ses manières, Alvis salua l'assemblée.
- Merci, Merci, pas tant d'ovation pour moi mes amis, j'ne fais que mon boulot ... Il attrapa un mec plutôt chetif au niveau du coup, et tomba au sol avec lui toujours coincé entre ses gros bras. On entendit un *crack* sonore, et Alvis en souria.
Que craque les os, pour le dieu des os.
Que coule le sang, pour le dieu du sang.
Il parcourut le rues et ruelles vide de monde déjà à ce moment là de notre histoire, et il ne croisa que des gens habillé sur leur 31 qui essayèrent de lui faire payer une taxe, ce à quoi il répondait par la négative. J'ai déjà payé en arrivant sur les quais... Allez vérifier si vous voulez ! Et comme la pègre, tout sauf idiote, voulait que les pigeons ne reviennent pour dépenser de l'argent, ils ne trouvèrent rien à redire de ce que le roi en guenille leur jactait comme s'il était certains de son bon droit.
Pratique d'avoir une morale flexible, on hésitait pas à changer en fonction du sens du vent, pour tirer ses marrons du feu, prendre la part des lions par tous les moyens... Car quand on part en chasse, c'est pour faire mains basses.
Il trouva enfin une taverne, quand il rentra, il trouva un peu plus de locaux, que de gonzigue habillé comme des pingouins. Ca lui allait, alors il se posa dans un coin de la pièce, et commanda un demi de bière, la moins cher. Déjà, il aurait du se méfier quand on lui servit la boisson, qui semblait bien délicieuse, mais dont certaines paillettes en composaient la robe. Il but la première gorgée.
Tout le monde retint son souffle, et regardèrent vers lui. Vous vous en doutez, c'était un piège. La pègre essayait de récupérer des gens pour les vendre en tant qu'esclave au plus offrant. Alvis ne comprit pas les regards de cette façon, car la première gorgée, sensée le coucher, ne fit que dédoubler sa vue, et le rendre d'humeur joueuse, jouasse et presque sympathique. Il se leva, la chopine entre les mains.
- Eh bien, messieurs ... N'avez vous jamais vu un homme déguster sa bière ? Il me semble anodin de profiter des bonnes choses de la vie, quand il le faut... Je ne comprends pas pourquoi vous me regardez tous comme si j'étais une sorte d'étrange créature... Je ne suis qu'un homme qui fait son travail d'homme pour survivre ... Voyez, j'ai une certaine vision de la vie, et des valeurs qui n'iraient pas à tout le monde ...
- Choppez moi c'batard, il parle trop ! Fit le barman, sûrement un capo, un chef d'escouade ou autre.
A ce moment là, Alvis réagit à la seconde près, et lanca le breuvage - à contre coeur- contre le premier qui avança vers lui, avec ses sombres intentions, et son manque de goût vestimentaire notable. Avec sa natte et ses manières, Alvis salua l'assemblée.
- Merci, Merci, pas tant d'ovation pour moi mes amis, j'ne fais que mon boulot ... Il attrapa un mec plutôt chetif au niveau du coup, et tomba au sol avec lui toujours coincé entre ses gros bras. On entendit un *crack* sonore, et Alvis en souria.
Que craque les os, pour le dieu des os.
Que coule le sang, pour le dieu du sang.
Dernière édition par Alvis Hagersson le Dim 2 Avr - 22:22, édité 1 fois
Gueule de loup, loup de nuit.