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Nayru Ossa
Ven 19 Mai - 13:31
Feuille de personnage
Dorikis: 16.000
FDD/ Armes: Suna Suna No Mi
Berrys:
Réputation: Mondialement Connue
Influence: Menace (Sauveur = Corsaire)
Localisation:
Le soleil point à l’horizon, la chaleur s’éveille elle aussi dans l’odeur des sauges encore humide, l’orage de cette nuit avait été terrifiant et la pluie s’était mêlée aux sables d’or qui avaient ainsi recouvert d’une fine pellicule jaunâtre la plupart du paysage. Sur le port, des dizaines de matelots s’attellent à balayer le sable et la boue formée par la puissance et la rage des éléments. D’accoutumé, le lieu est suffisamment calme et tranquille pour permettre aux pécheurs locaux de réaliser leurs tâches sans bruits. Mais aujourd’hui, il en est tout autre, en effet, une délégation royale de la Reine Nayru est d’ores et déjà présente sur le quai de la région de Kamadan aussi appelé joyau d’Istan. La Reine aurait transmis un pli à un éminent personnage, une pointure dans son milieu afin de commercer avec ce dernier et de lui faire plusieurs offres. Le monarque n’a plus le cœur à rire avec son royaume. Entre les attaques répétées de la révolution, des rebelles et les récents événements avec la Marine, il lui faut insuffler un souffle nouveau sur le Royaume de Vabbi afin de parfaire sa position. Si l’éminent marchand avait accepté sa demande, il serait immédiatement accueilli par des Trirèmes de Vabbi afin de tracter son navire sur la Calm Belt et de repousser allégrement les monstres marins grâce aux tambours de fers de son peuple. Ils pourraient ainsi tous accoster tranquillement au port secondaire, le port principal étant occupé à son maximum à cause du commerce de poudre antique.
Si le port secondaire parait désertique et peu engageant, le reste de la ville semble être positionnée au centre d’une oasis luxuriante ou les meilleurs paysagistes s’affrontent pour la création, la réalisation et l’entretient des plus beaux massifs fleuris qui soient. De la sauge kournane aux baobabs Vabbien, il y en a pour tous les goûts. Kamadan est l’une des premières villes à avoir rejoint l’unification et son surnom de « garde-manger » de Vabbi n’est pas usurpé, peut-être que l’éminent personnage aimerait avoir un guide privé pour s’adonner au tourisme, tout ceci serait possible, mais pas immédiatement. Dans l’instant, la garde des Lanciers du soleil, l’organisation militaro-religieuse de l’île, mais aussi l’équipage pirate qui le compose, se charge d’escorter avec ferveur l’invité de marque. Il ne faudrait pas qu’il constate trop rapidement les problèmes causés par l’insurrection de l’île. Paradoxalement, c’est aussi la raison de sa venue.
À l’extérieur de la ville, on l’inviterait à bord d’une nacelle armée de tentures, de voiles et de drapés afin de rester discret, mais surtout de profiter de l’ombre, car les conditions climatiques sont peu clémentes et Vabbi a tôt fait de vous engloutir dans l’étuve abominable. Les porteurs se chargeraient donc des bagages et des convives tout en proposant une pléthore de rafraîchissements et d’encas gourmand, mais ce n’est pas tout, si l’envie lui en prenait, une série de femmes aux formes incroyables seraient aussi là pour lui, car il n’y a pas une pire insulte sur Vabbi que de déplaire à ses convives.
Après plusieurs heures de route, si le chemin se déroule sans encombre et que l’invité royal avait bien daigné à prendre le chemin indiqué, il se retrouverait devant le palais royal, situé en plein désert et sculpté à même la falaise la plus haute du royaume. Des centaines de jardins suspendus se dressent, verdoyants, fleuris et luxuriants qui sont eux aussi entretenus par une armada de jardiniers. C’était un point d’honneur de la Reine, les jardins devaient être parfaits, et ce, en toute circonstance. Vers l’Ouest, il pourrait voir au loin le désert de cristal s’étendre jusqu’à Kourna tandis qu’à l’Est il pourrait y voir les vastes pyramides des Rois Primitifs.
S’il décide d’entrer dans le château, il sera accueilli de manière sobre et discrète, non pas par mépris ou mégarde, mais bel et bien par souci protocolaire vis-à-vis de la divinité solaire. Une culture et une religion forte animent chacun des us et coutumes de l’île. Puis on l’annoncerait avant d’ouvrir les lourdes portes d’or de la salle du trône, qui un lieu lui aussi rempli de jardin avec des ouvertures çà et là donnant une vue aérienne imprenable sur l’ensemble du royaume, un véritable spectacle architectural. À son arrivée, les conseillers et les soldats se retirent de la salle comme demandé par la Reine. Cette dernière descends les quelques marches qui sépare son trône du sol foulé par son invité.
« Je suis la Reine Nayru Ossa, je suis honorée de voir que vous avez répondu de manière positive à ma demande. Je vous en prie, faites comme chez vous Monsieur. »
Elle indique d’un simple geste de la main une tablée dressée devant un jardin ou une petite cascade s’écoule, le bruit blanc de l’eau aide toujours la Reine à réfléchir et trouver les mots justes. Comment se comporterait-il ? Elle n’en avait aucune idée, serait-elle face à un rustre ? Un malotru ? Un brigande de bas étage ? Ou au contraire devant une personne raffinée, bien-pensant et réfléchie ? Une chose était sûre, la Reine avait une offre, une offre certains ne refusent pas.
Si le port secondaire parait désertique et peu engageant, le reste de la ville semble être positionnée au centre d’une oasis luxuriante ou les meilleurs paysagistes s’affrontent pour la création, la réalisation et l’entretient des plus beaux massifs fleuris qui soient. De la sauge kournane aux baobabs Vabbien, il y en a pour tous les goûts. Kamadan est l’une des premières villes à avoir rejoint l’unification et son surnom de « garde-manger » de Vabbi n’est pas usurpé, peut-être que l’éminent personnage aimerait avoir un guide privé pour s’adonner au tourisme, tout ceci serait possible, mais pas immédiatement. Dans l’instant, la garde des Lanciers du soleil, l’organisation militaro-religieuse de l’île, mais aussi l’équipage pirate qui le compose, se charge d’escorter avec ferveur l’invité de marque. Il ne faudrait pas qu’il constate trop rapidement les problèmes causés par l’insurrection de l’île. Paradoxalement, c’est aussi la raison de sa venue.
À l’extérieur de la ville, on l’inviterait à bord d’une nacelle armée de tentures, de voiles et de drapés afin de rester discret, mais surtout de profiter de l’ombre, car les conditions climatiques sont peu clémentes et Vabbi a tôt fait de vous engloutir dans l’étuve abominable. Les porteurs se chargeraient donc des bagages et des convives tout en proposant une pléthore de rafraîchissements et d’encas gourmand, mais ce n’est pas tout, si l’envie lui en prenait, une série de femmes aux formes incroyables seraient aussi là pour lui, car il n’y a pas une pire insulte sur Vabbi que de déplaire à ses convives.
Après plusieurs heures de route, si le chemin se déroule sans encombre et que l’invité royal avait bien daigné à prendre le chemin indiqué, il se retrouverait devant le palais royal, situé en plein désert et sculpté à même la falaise la plus haute du royaume. Des centaines de jardins suspendus se dressent, verdoyants, fleuris et luxuriants qui sont eux aussi entretenus par une armada de jardiniers. C’était un point d’honneur de la Reine, les jardins devaient être parfaits, et ce, en toute circonstance. Vers l’Ouest, il pourrait voir au loin le désert de cristal s’étendre jusqu’à Kourna tandis qu’à l’Est il pourrait y voir les vastes pyramides des Rois Primitifs.
S’il décide d’entrer dans le château, il sera accueilli de manière sobre et discrète, non pas par mépris ou mégarde, mais bel et bien par souci protocolaire vis-à-vis de la divinité solaire. Une culture et une religion forte animent chacun des us et coutumes de l’île. Puis on l’annoncerait avant d’ouvrir les lourdes portes d’or de la salle du trône, qui un lieu lui aussi rempli de jardin avec des ouvertures çà et là donnant une vue aérienne imprenable sur l’ensemble du royaume, un véritable spectacle architectural. À son arrivée, les conseillers et les soldats se retirent de la salle comme demandé par la Reine. Cette dernière descends les quelques marches qui sépare son trône du sol foulé par son invité.
« Je suis la Reine Nayru Ossa, je suis honorée de voir que vous avez répondu de manière positive à ma demande. Je vous en prie, faites comme chez vous Monsieur. »
Elle indique d’un simple geste de la main une tablée dressée devant un jardin ou une petite cascade s’écoule, le bruit blanc de l’eau aide toujours la Reine à réfléchir et trouver les mots justes. Comment se comporterait-il ? Elle n’en avait aucune idée, serait-elle face à un rustre ? Un malotru ? Un brigande de bas étage ? Ou au contraire devant une personne raffinée, bien-pensant et réfléchie ? Une chose était sûre, la Reine avait une offre, une offre certains ne refusent pas.